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UN PEU DE CIVISME, S.V.P.

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COURRIER DES LECTEURS
Publication : 9 septembre 2015
Par Mme Marieclaude Ouimet

Le Journal d'Outremont vous encourage à nous communiquer vos lettres d'opinion. La rédaction se réserve le droit d'éditer les textes qui lui sont soumis pour en faciliter la lecture et la compréhension. Ne seront retenus que les textes sur des sujets pertinents, utilisant un langage non-discriminatoire, non-injurieux et écrit dans un français correct. Le Journal d'Outremont se dégage totalement des propos publiés et n'assume aucune responsabilité quant à leur contenu. Vous pouvez nous communiquer votre missive par courriel en y indiquant votre nom et votre adresse, même si le numéro civique de celle-ci ne sera pas publiée. : info@journaloutremont.com. Vous pouvez réagir à un propos en cliquant sur Ajouter un commentaire.

durocher

Mercredi matin, en route vers le YMCA, j’ai emprunté la rue Durocher. Cette dernière était jonchée de divers détritus : verres de plastique et de carton, kleenex, papier, bâtons de popsicle, bouteilles d’eau, etc… Ce n’est malheureusement pas la 1ère fois que la rue Durocher fait l’objet de plaintes citoyennes : ces dernières années, des résidents sont venus à maintes reprises au conseil d’arrondissement pour déplorer l’état lamentable et insalubre de la rue et une résidente a même publié une lettre « La propreté de nos rues et ruelles » (Express d’Outremont, 07.02.10) à ce sujet. Vraisemblablement, les plaintes d’une minorité de riverains n’ont pas été entendues par la majorité des pollueurs !

De par sa position de conseillère municipale du district Claude-Ryan, Madame Mindy Pollak a le devoir de sensibiliser et de conscientiser une certaine frange de la population à l’environnement, à la propreté et à la salubrité. Il ne nous reste qu’à espérer qu’en tant que représentante de Projet Montréal, Madame Pollak saura agir pour la qualité de vie de tous et chacun.

Mariclaude Ouimet



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Cyclisme responsable

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COURRIER DES LECTEURS
Publication : 26 août 2015
Par M. Pierre Joncas

Selon Trafic d’influence sur Laurier Ouest (L’Express d’Outremont du 16 juillet, p. 4), le Commissaire au lobbyisme aurait émis un blâme contre l’Association des commerçants de l’avenue Laurier Ouest. En avril 2014 un de ses membres, [...]

Lettre ouverte +
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Cyclisme responsable

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COURRIER DES LECTEURS
Publication : 26 août 2015
Par M. Pierre Joncas

Le Journal d'Outremont vous encourage à nous communiquer vos lettres d'opinion. La rédaction se réserve le droit d'éditer les textes qui lui sont soumis pour en faciliter la lecture et la compréhension. Ne seront retenus que les textes sur des sujets pertinents, utilisant un langage non-discriminatoire, non-injurieux et écrit dans un français correct. Le Journal d'Outremont se dégage totalement des propos publiés et n'assume aucune responsabilité quant à leur contenu. Vous pouvez nous communiquer votre missive par courriel en y indiquant votre nom et votre adresse, même si le numéro civique de celle-ci ne sera pas publiée. : info@journaloutremont.com. Vous pouvez réagir à un propos en cliquant sur Ajouter un commentaire.

Selon Trafic d’influence sur Laurier Ouest( L’Express d’Outremontdu 16 juillet, p. 4), le Commissaire au lobbyisme aurait émis un blâme contre l’Association des commerçants de l’avenue Laurier Ouest. En avril 2014 un de ses membres, non encore inscrit au registre des lobbyistes, se serait entretenu informellement dans un café avec deux conseillères de l’arrondissement. L’accusation de «trafic d’influence» est grave et, à moins de preuves, irresponsable. Le blâme du Commissaire emploie-t-il cette expression? La trouve-t-on, ou l’équivalent, dans le texte du blâme? Si non, le titre est sans justification.

cyclisme

Le premier paragraphe de l’article de L’Express évoque une rencontre en catimini. Le Commissaire l’a-t-il qualifiée telle? Les mots seraient-ils de Maxime Dorais qui a déposé la plainte ou de la journaliste? Le petit Robert définit ainsi catimini: «En cachette, discrètement, secrètement». Dans un café? Au vu et au su d’autres convives? Tout inapproprié qu’ait pu être l’entretien (aux experts d’en juger), en catimini est, à tout le moins, exagéré.

Avant d’asséner des leçons de vertu à ceux qu’ils estiment leurs adversaires, les porte-parole de l’Association des piétons et cyclistes auraient avantage à examiner leur propre conscience, leur propre conduite. En fouillant l’Internet pour des renseignements, je n’ai trouvé rien de plus que des renvois à la Coalition vélo de Montréal/ Montreal Bike Coalition et leur page Facebook, où les messages reflètent un souci quasi exclusif pour les intérêts des cyclistes. C’est tout juste si on y évoque les piétons mis en péril par des automobilistes étourdis, négligents ou irresponsables, mais nulle part n’y mentionne-t-on des cyclistes du même acabit dont certains se permettent, entre autres manœuvres dangereuses et illégales, de rouler à toute allure sur les trottoirs. Les noms des membres du Conseil d’administration (ou autres représentants autorisés) de l’Association y brillent par leur absence et sont introuvables ailleurs. Il y a fort à parier que tous sont cyclistes. Si tel devait être le cas, prétendre représenter les piétons, aux intérêts distincts et parfois en conflit avec les leurs, serait de la fausse représentation, d’autant qu’un autre article de L’Express du 16 juillet (p.3), Améliorer les déplacements en vélo et à pied, accorde la part du lion aux revendications des cyclistes. On y cite surtout David McNeil, cofondateur de l’association, selon qui « nous devons avoir notre propre réseau à l’intérieur d’Outremont et établir davantage de connexions avec le réseau montréalais. […] Les cyclistes ont besoin entre autre de pistes sur le viaduc Rockland, sur Laurier ouest ainsi que des pistes qui feront la connexion avec différentes écoles ». Rien de moins! Et, y lit-on, la conseillère Mindy Pollak, présidente du nouveau comité de transport actif, « abonde dans le même sens ». Cette observation présagerait-elle déjà les recommandations du comité? Si oui, à quoi bon les consultations?

Ailleurs, apprend-on, «de janvier à juillet, en 2011, jusqu’à 2890 personnes par jour transitaient par la piste bidirectionnelle de Côte Ste-Catherine.» Si ce chiffre est juste, il s’agirait d’un maximum, non d’une moyenne, et il représenterait des traversées dont ne sont précisés ni le point de départ ni la destination. S’il s’agit d’allers-retours de cyclistes résidant tous à Outremont (environ 24 000 âmes), cela représenterait 6 p.c. de notre population, proportion invraisemblable. Selon le même article, l’association de monsieur McNeil compterait près de 300 abonnés. En fait, le 22 juillet, sa page Facebook affichait «273 mentions J’aime». Même si ces 273 amateurs sont d’Outremont, et on peut en douter, il s’agirait d’à peine 1,1 p.c. de notre population. Bref, tout bruyante soit-elle, l’association représente au plus un nombre infime d’Outremontais.

Toujours selon Améliorer les déplacements en vélo et à pied, l’École Nouvelle-Querbes serait la seule participante au programme À pied, en vélo, une ville active. Trottibus, pour enfants accompagnés à l’école à pied par des adultes auquel participe au moins l’École St-Germain, ne compterait donc pas?

J’ai lu plusieurs articles de teneur semblable dans les journaux gratuits offerts aux stations du métro. En réfléchissant à ce déluge d’informations (dont certaines trompeuses, d’autres incomplètes, et d’autres hors contexte) à la veille des délibérations du comité sur le transport actif, il est tentant de se demander si l’Association des piétons et cyclistes ne serait pas en pratique, et tout autant que l’Association des commerçants de Laurier Ouest, un lobby. Outre sa campagne de relations publiques, s’autoriserait-elle des démarches, formelles ou informelles, auprès des autorités et, si oui, quand se serait-elle inscrite au registre des lobbyistes?

Je me défends dès ici contre tout éventuel procès d’intention qui tenterait de m’inculper d’hostilité à l’endroit des cyclistes et du cyclisme. Outre le fait que Mathilde Blais, cette jeune femme écrasée tragiquement le 28 avril 2014, rue St-Denis, sous le viaduc des Carrières par un véhicule lourd, était une amie, je rêve du jour où l’obsession de l’instantanéité des déplacements cédera le pas à cette sagesse que Pierre Sansot nomme «bon usage de la lenteur». La mise en œuvre de cette sagesse est possible en milieu urbain, et les cyclistes y contribueront. Tout avisé, cependant, puisse être l’objectif du passage généralisé au transport actif et au transport collectif, il ne pourra être atteint du soir au lendemain: la manipulation par culpabilisation et la coercition par intimidation ne pourront que provoquer de la résistance et le retarder. Néanmoins, quels que soient les écarts de l’Association dite des piétons et cyclistes d’Outremont, et quel que soit le nombre de ses adhérents, les décisions politiques affectant – et les règlements régissant – les intérêts légitimes des cyclistes, membres et non membres, doivent être justes et raisonnables; cependant, ils doivent l’être tout autant à l’endroit de ceux des piétons, automobilistes, contribuables et commerçants, y compris ceux de l’avenue Laurier Ouest.

Si le vélo s’est implanté dans des contrées comme les Pays-Bas, les mobiles d’ordre géographique, historique et culturel y ayant contribué sont absents à Montréal. D’abord, le climat maritime de villes comme Amsterdam et Rotterdam n’y fait pas du vélo en hiver un sport extrême, ainsi qu’il l’est ici. Ensuite, en favorisant l’industrie automobile, la prospérité d’après-guerre en Amérique du Nord en a propagé ici l’usage généralisé. En Europe par contraste, et notamment aux Pays-Bas, les urgences étaient autres. Les infrastructures avaient été saccagées et la population appauvrie par six ans d’occupation nazie: l’automobile n’était donc pas au sommet des priorités. Enfin, chez les Néerlandais les conditions séculaires de survie d’une population dense, concentrée sur un territoire endigué constamment menacé par la mer, ont favorisé l’éclosion d’une culture terre à terre, ingénieuse, disciplinée, soucieuse d’autrui et du bien commun. En revanche, et bien que nous le déplorons trop peu, notre culture privilégie le laisser-aller, la recherche du plaisir et du confort personnels, et l’individualisme. Vu ces conditions particulières, comment s’étonner du succès durable du vélo comme véhicule de prédilection pour le déplacement personnel des Néerlandais? Et ne serait-il pas aberrant de ne pas prendre en compte leur absence à Montréal?

Seul le réchauffement de la planète, qui n’est pas à souhaiter, pourrait faire que le vélo cesse d’être ici un sport extrême en hiver. Si donc, tout en refusant la coercition et la manipulation, l’on tient à la mise en place chez nous d’infrastructures plus accueillantes au cyclisme pendant les belles saisons, il faudra recourir à la persuasion, se résoudre à y œuvrer avec patience, et adopter une stratégie et un discours respectueux des automobilistes et des piétons, stratégie et discours fondés sur l’appel à la raison et aux sentiments nobles. Le comportement devra s’y conformer. Si l’intégrisme cycliste et la mentalité jacobine qui l’alimente peuvent permettre des gains à court terme (et cela n’est pas certain), à la longue ils retarderont l’accès à l’objectif louable poursuivi.

Malgré, au mieux, un mince espoir de voir pris au sérieux mes propos, je recommanderais aux dirigeants de l’Association des piétons et cyclistes de manifester bonne foi et bonne volonté en reconnaissant leurs responsabilités et en se montrant disposés à les prendre en charge. Mais sur quoi se fondent ces responsabilités, et que sont-elles?

Outre les coûts de leurs vélos et des périphériques, certes les cyclistes s’acquittent des taxes imposées à tous les citoyens. Ils jouissent toutefois de l’usage exclusif d’infrastructures dont tous les contribuables défraient la construction et l’entretien coûteux. Bref, ils sont largement subventionnés. Contrairement aux automobilistes, ils ne sont tenus de se procurer ni immatriculation, ni permis de conduire, ni assurances. À Outremont, dans les années 1940 au moins, il fallait se procurer à l’Hôtel de Ville une plaque pour sa bicyclette: elle était ovale, mais j’en oublie le prix. Il y a donc un précédent. De plus, l’immatriculation permettrait d’identifier les fuyards coupables d’infractions ou responsables d’accidents. Pour le permis de conduire et les assurances, l’exigence serait nouvelle, encore qu’elle puisse être déjà de rigueur ailleurs. Mais serait-il déraisonnable pour autoriser le cycliste à emprunter la voie publique de lui demander, aussi, d’établir au préalable sa connaissance du code routier, sa compétence et sa maîtrise du guidon, et de souscrire à une assurance pour dédommager ses éventuelles victimes? N’en demande-t-on pas autant aux automobilistes? Égalité de droits pour les cyclistes, d’accord, mais à condition qu’ils reconnaissent les responsabilités correspondant à l’usage de leur véhicule et acceptent les obligations en découlant.

Ces éléments contextuels sont pertinents pour apprécier les enjeux de la piste cyclable envisagée pour l’avenue Laurier Ouest. Les citoyens d’Outremont sont en droit de se fier à leur Conseil pour adopter des mesures tenant compte des intérêts légitimes de tous. Heureusement, et contrairement à la démarche suivie sur le chemin de la Côte-Ste-Catherine lors de l’implantation de la piste cyclable isolée par un muret, les commerçants riverains seront consultés. Il ne s’agirait d’ailleurs, cette fois, que de marques peinturées sur la chaussée: inconvénients donc moins sérieux pour les riverains et frais moins onéreux pour les contribuables, mais inconvénients et frais malgré tout. Pourtant, avant même les résultats d’une étude et des consultations, l’Association des cyclistes s’oppose vigoureusement à envisager l’alternative d’une piste cyclable sur le boulevard St-Joseph. Le Conseil n’en a pas moins le devoir de refuser de se laisser intimider ou manipuler, et de prendre ses décisions en toute transparence à la suite d’une évaluation minutieuse des coûts et des inconvénients pour les marchands, les piétons et les automobilistes, d’une part, et pour les cyclistes de l’autre.

Il importe de garder en mémoire que le rôle de tout comité consultatif, y compris celui sur le transport actif, n’est pas décisionnel. La sagesse de ses recommandations sera à la hauteur de la compétence et de la probité de ses membres et de la qualité de leur travail. Imputables aux citoyens de leurs votes en Conseil, les élues ne sauraient légitimement se réfugier derrière le paravent de recommandations de quelque comité consultatif pour se justifier. Certes, le mandat de chacune lui a été confié à la lumière de ses engagements, mais aussi et autant de la confiance accordée à son discernement, son bon jugement et sa probité.

Pierre Joncas



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Conserver le symbole fleuri d’Outremont

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COURRIER DES LECTEURS
Publication : 17 août 2015
Par Mme Tatiana Tourville

Madame la Mairesse,
Je suis une citoyenne d'Outremont depuis 1968 et c'est avec grand regret que je constate, au fil des ans, une constante dégradation de notre si beau quartier. [...]

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COURRIER DES LECTEURS
Publication : 17 août 2015
Par Mme Tatiana Tourville

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Madame la Mairesse,
Je suis une citoyenne d'Outremont depuis 1968 et c'est avec grand regret que je constate, au fil des ans, une constante dégradation de notre si beau quartier.

symbole fleuriL’espace où figurait l’inscription « Bienvenue à Outremont » à la sortie du viaduc Rockland.

La dernière détérioration se situe à la sortie du viaduc Rockland et l'entrée d'Outremont ou il n'y a plus le très bel arrangement végétal avec le nom de notre ville.

Je comprends qu'il y a des coupures de budget dans tous les secteurs de la ville. Mais je crois qu'il y a des possibilités qu'on pourrait envisager et qui permettrai a conserver cette belle enseigne.

En voici quelques idées:

1. Se servir des plantes grasses, des couvre-sol, etc... qui résistent l'hiver et ainsi il y aurait a chaque année seulement un entretien et un remplacement de celles qui n'ont pas survécu l'hiver.

2. En ce qui concerne les différents bacs à fleurs sur les coins de rue. Au lieu de nouvelles plantations à chaque printemps mettre des vivaces avec au centre une variété de sapin et ainsi faire de grandes économies:

  • plus de nouvelles plantations au printemps
  • plus de nettoyage à l'automne
  • plus de plantations de sapins
  • plus de récupération des sapins au printemps

La seule dépense ce serait l'entretien de ces bacs et le remplacement de ce qui n'a pas survecu l'hiver.

J'espère, Madame la Mairesse, que vous allez prendre en considération ces suggestions et pour que nous puissions, tout en économisant, continuer à jouir d'une belle ville.

Tatiana Tourville
Av. Antonine-Maillet



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Un panneau qui dérange

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COURRIER DES LECTEURS
Publication : 10 août 2015
Par Laure Cohen

« L’aspect extérieur appartient à l’intégrité du quartier». Voilà ce qu’on peut lire dans un cahier spécial du Journal d’Outremont. Le Service de l’aménagement urbain et du patrimoine de l’arrondissement Outremont y va de plusieurs [...]

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Ces faits nous concernent tous

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COURRIER DES LECTEURS
Publication : 10 août 2015
Par Nicole Audette

Il y a longtemps que je veux écrire cette lettre au journal d'Outremont. Car je trouve qu'il y a un homme qui a subi une grave injustice dans ce bel arrondissement. Je veux parler de monsieur Pierre Lacerte, avocat de formation [...]

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Ces faits nous concernent tous

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COURRIER DES LECTEURS
Publication : 10 août 2015
Par Nicole Audette

Le Journal d'Outremont vous encourage à nous communiquer vos lettres d'opinion. La rédaction se réserve le droit d'éditer les textes qui lui sont soumis pour en faciliter la lecture et la compréhension. Ne seront retenus que les textes sur des sujets pertinents, utilisant un langage non-discriminatoire, non-injurieux et écrit dans un français correct. Le Journal d'Outremont se dégage totalement des propos publiés et n'assume aucune responsabilité quant à leur contenu. Vous pouvez nous communiquer votre missive par courriel en y indiquant votre nom et votre adresse, même si le numéro civique de celle-ci ne sera pas publiée. : info@journaloutremont.com. Vous pouvez réagir à un propos en cliquant sur Ajouter un commentaire.

Lettre d’opinion de Mme Nicole Audette
reçue le 26 juillet 2015

Il y a longtemps que je veux écrire cette lettre au journal d'Outremont. Car je trouve qu'il y a un homme qui a subi une grave injustice dans ce bel arrondissement.

Pierre Lacerte

Je veux parler de monsieur Pierre Lacerte, avocat de formation et journaliste de profession, un homme qui s'est battu depuis des années, à ses frais, pour faire respecter les lois et règlements que tout citoyen se doit de respecter, sous peine de sanction. Et pourtant, il a payé cher ses dénonciations, même s’il a gagné tous les procès que lui ont fait subir certains dirigeants d’une communauté religieuse.

On est en droit de se demander pourquoi c'est lui qui a dû dénoncer les manquements aux lois et règlements d'Outremont (et d’ailleurs). Ce n'est pas normal, ça! Mais puisqu’Outremont semblait fermer les yeux, c'est Pierre Lacerte qui y a vu puisqu'on « laissait faire ». Il n'était pas payé pour cela, au contraire. Ne serait-ce pas la responsabilité de nos représentants élus de faire ce travail ? C'est comme si monsieur Lacerte, cet homme respectable et intègre, n'avait pas agi, personne ne l'aurait fait...?.

C'est ce que j'ai appris au cours des ans en lisant « Accommodements Outremont », preuves et photos à l'appui.

Ce que je trouve surtout injuste, c'est qu'un citoyen non élu ait eu à faire face à la justice pour des règlements que l’arrondissement où il habite aurait normalement dû faire respecter. Je trouve cela non seulement injuste, mais décevant !



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Un panneau qui dérange

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COURRIER DES LECTEURS
Publication : 10 août 2015
Par Laure Cohen

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Lettre d’opinion de Mme Laure Cohen
reçue le 30 juillet 2015

« L’aspect extérieur appartient à l’intégrité du quartier». Voilà ce qu’on peut lire dans un cahier spécial du Journal d’Outremont. Le Service de l’aménagement urbain et du patrimoine de l’arrondissement Outremont y va de plusieurs conseils pour nous aider à comprendre les règlements entourant les demandes et les attributions de permis.

Willowdale

Résidente d’Outremont sur la rue Willowdale, je me demande comment la Ville a pu attribuer un permis à la société Cromwell pour ériger un panneau publicitaire dans une rue résidentielle plus que tri-centenaire. Tous les matins, les résidents et locataires de l’immeuble se lèvent avec vue sur une enseigne publicitaire laide à mourir. Les enfants qui passent en Trottibus pour aller à l’école ne verront plus les beaux arbres qui longent leur rue mais ce panneau rouge et noir qui crève le paysage et le cœur.

Renseignements pris auprès du service d’urbanisme, j’apprends que la société Cromwell n’a jamais demandé de permis pour ériger cette horreur. Acceptable? Qu’à cela ne tienne, Cromwell fait appel à la lettre recommandée qui lui aurait été envoyée pour lui demander de retirer ce panneau érigé sans permis.

Et nous voilà donc face à un comité d’urbanisme qui va recommander au Conseil municipal si oui ou non, ce panneau qui défigure la rue Willowdale a sa raison d’être. Est-ce même un dossier qui devrait mobiliser notre comité d’urbanisme? Un permis n’a jamais été demandé par Cromwell ni octroyé par l’arrondissement Outremont. Commençons par faire respecter les règlements.

Le Conseil municipal se réserve tout de même le droit de passer outre la recommandation de son comité d’urbanisme. À suivre donc. Si notre comité d’urbanisme a eu le courage et bon sens de faire une recommandation défavorable, le Conseil municipal suivra-t-il?

Willowdale

J’ai fait de multiples appels à l’arrondissement d’Outremont. Les choses suivent leurs cours me dit-on.

Comme si un panneau contrevenant aux règlements ne suffisait pas, un deuxième a fait son apparition hier!

Où est le respect des citoyens dans l’application des règlements? Je me le demande.



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ASSUMER L’AVENIR

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COURRIER DES LECTEURS
Publication : 27 juillet 2015

Le Journal d'Outremont vous encourage à nous communiquer vos lettres d'opinion. La rédaction se réserve le droit d'éditer les textes qui lui sont soumis pour en faciliter la lecture et la compréhension. Ne seront retenus que les textes sur des sujets pertinents, utilisant un langage non-discriminatoire, non-injurieux et écrit dans un français correct. Le Journal d'Outremont se dégage totalement des propos publiés et n'assume aucune responsabilité quant à leur contenu. Vous pouvez nous communiquer votre missive par courriel en y indiquant votre nom et votre adresse, même si le numéro civique de celle-ci ne sera pas publiée. : info@journaloutremont.com. Vous pouvez réagir à un propos en cliquant sur Ajouter un commentaire.

Lettre d’opinion provenant de membres du Rassemblement pour la sauvegarde du pavillon 1420, boulevard Mont-Royal.

Lorsque l’Université de Montréal (UdeM) a fait l’acquisition en 2003 du 1420, boulevard Mont-Royal, au prix de faveur de 15M$, le recteur Robert Lacroix a déclaré qu’il s’agissait d’une « des plus heureuses acquisitions que l’Université ait jamais faite ». Si le recyclage de cet immeuble avait été réalisé tel que prévu, l’institution aurait profité dès 2008 d’un excellent pavillon, à un coût inférieur à celui d’un édifice neuf, situé dans le campus et à quelques pas de la station de métro Édouard-Montpetit.

1420 mont-royal

Ce qui a tout changé, c’est la décision prise en 2006 par le gouvernement du Québec de développer le CHUM au centre-ville, rendant ainsi disponible la cour de triage d’Outremont pour l’aménagement d’un campus satellite pour l’Université. À l’instar de d’autres universités canadiennes, l’institution aurait pu alors envisager d’autres moyens pour conserver le 1420 dans le domaine public, en le louant par exemple par bail emphytéotique pour en faire des résidences étudiantes. Comme le révèlent des renseignements obtenus grâce à la Loi d’accès à l’information, elle a plutôt opté pour une mise en scène trompeuse concernant les coûts de recyclage de l’immeuble de façon à tirer profit de sa vente au privé.

Aujourd’hui, après une première tentative ratée de vendre le 1420 au Goupe immobilier F. Catania, il n’y a plus aucun profit de vente possible pour l’Université, au contraire. En comptabilisant, après douze ans, le coût d’achat (15M$), les coûts d’aménagement du centre de recherche BRAMS (7M$), ceux des premières mises à niveau (23M$), les coûts de chauffage et d’entretien (5M$) et ceux de la location dans le privé d’espaces qui auraient pu être aménagés dans le 1420 (quelque 20M$), on arrive à la jolie somme de 70 M$. Le Groupe Catania ayant offert 28M$ pour l’achat de l’immeuble, il faut s’attendre à ce que le nouveau preneur, Olivier Leclerc, en offre moins!

Un choix crucial
L’Université est confrontée aujourd’hui à un choix crucial : soit de conserver le 1420 dans le campus actuel, ce qui permettrait de le densifier tout en réduisant graduellement les dettes accumulées dans ce dossier, soit de tenter de nouveau sa chance de vendre l’immeuble pour fins de condos de luxe. Or cette dernière option risque de s’avérer toujours aussi désastreuse pour des raisons précises.

Le 1420 se trouve dans un secteur où il y a peu de commerces et de services de proximité, adjacent au centre sportif de l’Université, donc à une aire de vacarmes et d’éclairages nocturnes et, en plus, sa forme hexagonale avec ses deux cours intérieures se prêtent mal en un recyclage en condos de qualité. Ce que les acheteurs cherchent avant tout c’est du confort : balcons, fenêtres du plancher au plafond, ensoleillement et intimité. Or cet immeuble n’offre pas grand-chose du genre. Comme son enveloppe extérieure ne peut être modifiée pour des raisons patrimoniales, ce n’est que dans les cours intérieures qu’il est possible d’intervenir. Or celles-ci sont très peu ensoleillées et n’offrent guère d’intimité.

Le Groupe F. Catania a tenté de minimiser ces inconvénients en y aménageant des condos transversaux, à savoir avec les pièces d’utilisation commune ouvrant sur l’environnement extérieur et les chambres donnant sur les cours intérieures. Après plus de deux ans de mise en vente, il a obtenu moins de 10% de promesses d’achat pour ses 132 condos. Pour ses 198 condos, le promoteur Olivier Leclerc a prévu un aménagement conventionnel avec accès aux logements par un corridor central. Or il en résulte que quelque 60 condos n’ouvriront que sur les cours intérieures, donc devront être vendus à bas prix à cause de leur confort relatif. Cette approche peut paraître « démocratique » mais, dans les faits, elle n’est guère réaliste. Car, comme le confirmera n’importe lequel sociologue, il y a peu de gens prêts à payer un million et plus pour acquérir un condo de luxe qui apprécieront ce type de cohabitation, sans compter que l’entretien de la chapelle et des lieux communs seront surtout à leur charge.

Pour que le changement de zonage d’institutionnel à résidentiel puisse être maintenu, le Groupe F. Catania avait jusqu’au 2 septembre 2015 pour entreprendre des travaux de construction. Or voici que, pour contourner cette échéance, la direction de l’Université entreprend elle-même des travaux de désamiantage tout en cherchant à établir, d’ici décembre, une entente avec le promoteur Leclerc. Et si, après quelques autres années d’attente, les condos ne se vendent toujours pas, que va-t-elle faire avec l’édifice? Le barricader après avoir investi une autre dizaine de millions pour son désamiantage?

Compte tenu de cette situation, la seule décision logique pour l’Université serait de chercher à louer par bail emphytéotique le 1420 à un OBNL qui s’emploierait à le recycler pour satisfaire des besoins universitaires, par exemple des résidences étudiantes. Une telle option permettrait de conserver cet immeuble dans le domaine public, de répondre à des besoins réels tout en permettant à l’institution d’alléger graduellement sa dette. Dans cette période d’austérité, ce serait le minimum que le gouvernement Couillard devrait exiger immédiatement de la part de la direction de l’Université de Montréal.

Andrea Audet
Micheline Cabana
Éloïse Choquette
Bernard Gauthier
Pierre Joncas
Mariette Major
Jean-Claude Marsan
Madeleine Reid
Daniel Turp
Denyse Vezina

Membres du Rassemblement pour la sauvegarde du pavillon 1420, boulevard Mont-Royal.



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Éditeur :René Soudre
Assistante à l’édition : Marili Soudre-Lavoie
Rédacteur en chef : René Soudre
Collaborateurs : Julie Turgeon, Viktor Lavoie, Emmanuelle Beaubien, Carla Geib, Alexis Drapeau-Bordage, Hélène Côté, Laetitia Arnaud-Sicari
Photos : Marili Soudre-Lavoie
Administration : Hélène Lavoie
Ventes : Marili Soudre-Lavoie, René Soudre

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