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Pourquoi je quitte le quartier

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Publication : 17 juillet 2020
Par Mme Jacinthe Gauthier

Bonjour,
Je vis depuis 3 années sur la rue Hutchison. J’ai été témoin d’un nombre impressionnant de situations allant à l’encontre des règlements municipaux. Mes communications avec la mairie d’Outremont sont demeurées sans réponse. Je ne compte plus le nombre d’appels, de courriels et de photos acheminés au maire d’arrondissement quant au niveau de bruit, aux déchets, aux objets obstruant les trottoirs, aux travaux de construction s’éternisant jusqu’à 22h00...

Je quitte donc ce quartier car je suis terriblement déçue par le manque de volonté de cette administration et surtout, j’ai perdu confiance en eux.

Voici quelques photos prises hier lors de ma marche matinale. C’est beau Outremont! Je tenais à partager cela avec vous.

Merci,
Jacinthe Gauthier

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Que diable font-ils ?

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Publication : 9 juillet 2020
Par M. Gérard Castonguay

Les citoyens et les citoyennes des avenues Bloomfield et De l’Épée au nord de Lajoie passe le week-end avec ces vidanges non ramassées dans la ruelle commune depuis jeudi (4 juillet). Et ce malgré de nombreux appels au 311 et à la sécurité publique d’Outremont.

Les éboueurs de jeudi n’ont simplement pas fait leurs boulots. Oui il y avait entrave au milieu de la ruelle ce qui ne les empêchent pas de revenir par le nord. Nous n’avions pas ce genre de situation par le passé, la sécurité passait et faisait ramasser. Nous avons eu un week-end d‘odeurs et des auréoles de mouches.

Que diable font-ils?



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Non aux poteaux verts sur Van Horne

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Publication : 16 juin 2020
Par L’Association des marchands et professionnels de Van Horne

Pendant le confinement, dû à la COVID-19, nos commerçants se croisaient les doigts dans l'espoir de survivre à ces temps sans précédent. Certains ont fermé temporairement, d’autres sont restés ouverts et tous ont développé de nouvelles façons d’opérer puisque nous sommes des entrepreneurs flexibles face au changement. Maintenant, en cette période de relance économique et de déconfinement graduel, pourquoi devons-nous continuer à nous croiser les doigts au lieu de nous sentir soutenus par notre arrondissement et par la Ville de Montréal? Le commerce local joue un rôle fondamental dans la vitalité des quartiers et devrait maintenir ce statut essentiel au sein de notre arrondissement.

Après plus de 2 mois et demi de fermeture obligatoire pour la plupart de nos commerces, nous étions soulagés et optimistes de reprendre nos activités et retourner à notre gagne-pain.

À notre grand désarroi, quelle surprise de voir l’accessibilité de certains commerces obstrués par ces corridors sanitaires (poteaux verts)! Malgré l’absence de consultation et d'avis préalable de la part de l'arrondissement aux commerçants, nous avions compris l’utilité initiale de ces corridors si cette mesure s’avérait nécessaire. Par contre, les corridors sanitaires nuisent et continueront à nuire à la relance et la survie de nos commerces. Van Horne est une artère commerciale et l’achalandage ne justifie pas de la piétonniser sur certains tronçons et ni d’éliminer les places de stationnement. En effet, plus de 75% de nos commerces sur Van Horne sont des commerces de services ou de destination donc nos clients se rendent sur la rue principalement en voiture. Tel que mentionné, plusieurs commerçants se sont adaptés à la nouvelle situation en diversifiant leurs services comme le service à emporter (cueillette devant les commerces sans contact).

Depuis l’arrivée des corridors sanitaires, desservir les clients de cette manière est devenu un grand défi pour les commerçants car l’accessibilité aux commerces est rendue impossible, voire même dangereuse pour nos clients. Aussi, les camions de livraison doivent se garer devant nos commerces afin de décharger la marchandise, ce qui cause une entrave à la circulation. Certains camions doivent même se stationner dans les espaces réservés aux autobus afin de permettre aux véhicules de circuler.

En conséquence, dans l’espoir d’instaurer une mesure sécuritaire avec les corridors, vous avez créé une situation dangereuse qui nuit au commerce local. Après avoir signalé les problématiques avec l’arrondissement, la suggestion proposée fut d’offrir un service de valet, payé par les commerçants, une solution qui encourt des coûts supplémentaires pour nous. De plus, l’arrondissement ne prévoit pas de zones alternatives de stationnement pour les clients ou camionneurs (les ruelles sont trop étroites pour le passage des camions).

La seule solution évidente et efficace pour la sécurité de tous serait de retirer ces poteaux verts. Nous vous suggérons de changer d’approche et d’entendre la voix des commerçants qui demandent de travailler de façon plus coordonnée avec vous, puisque nos intérêts devraient être communs. Il faut cesser de prendre des décisions au détriment de nos commerces. Sinon, les résidents n’auront plus de boutiques spécialisées, de restaurants, de cafés, d’épiceries et de services à leur disposition. Déjà, nous pouvons remarquer de façon flagrante l’absence de nos clients. Ils confirment aller magasiner ailleurs car Van Horne, c’est rendu compliqué!

Léa Makridis-Lebeuf, pour L’Association des marchands et professionnels de Van Horne



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Concorde, salubrité et bonne réputation

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Publication : 26 mai 2020
Par M. Pierre Joncas

M. le maire,
C’est un devoir de votre fonction que de veiller à la concorde, la salubrité et l’aménagement esthétique notre arrondissement, ainsi que de défendre sa bonne réputation.

Avant même l’amoindrissement de notre statut de municipalité à arrondissement, nous souffrions d’affrontements fréquents entre notre minorité hassidique et notre majorité d’adhérents de confessions diverses – y compris le judaïsme – et de personnes sans appartenance religieuse. Depuis, les accrocs se multiplient et s’aggravent. Vous n’avez pas créé cette situation, vous en avez hérité. Récemment, vous vous disiez optimiste de voir réglé le problème dans l’harmonie.

Dans Le Devoir des 28-29 février 2020, Lise-Marie Gervais rapportait que, le 2 mars, le Conseil adopterait des mesures pour financer une cartographie des lieux de culte et une cartographie des espaces publics partagés, et qu’il créerait «une table de concertation pour ouvrir un dialogue sur la base des données recueillies». Ces initiatives suffiront-elles pour acheminer l’arrondissement à une harmonie durable? Pour dénouer la mésentente et résoudre les conflits qui en découlent, il faut identifier et dissiper les malentendus à leur source.

Dans le reportage de Mme Gervais, vous rappeliez «la nécessité de baser le dialogue sur des “faits”». À Outremont, une minorité hassidique de taille importante et croissante voisine une majorité longtemps établie. Je vous propose une analyse de la situation à partir de témoignages publics et de données observables.

L’émission Second Regard, diffusée le 24 novembre 2013, présentait Eliezer Frankforter, un rabbin de la communauté hassidique d’Outremont. Selon lui, le Hassid est à la recherche constante de Dieu avec l’enthousiasme d’un prospecteur dans la ruée vers l’or. «Dieu, la Torah et le peuple juif ne font qu’un, expliqua-t-il. On essaye de garder la pureté, la vérité qui nous a été transmise depuis le mont Sinaï». Il s’estimait gardien de cette vérité, investi du devoir de la préserver en protégeant sa communauté des influences corruptrices de l’extérieur. «On est quand même dans un pays avec des gens qui ont d’autres cultures. […] Donc, d’avoir vraiment une relation tout à fait hétérogène – on va tout partager, puis on va vivre comme tout le monde – c’est impossible, c’est inconcevable. Et on est obligés d’avoir […] une certaine attitude qui est: “OK. Nous on vous dérange pas, mais surtout ne nous dérangez pas”». Vu son implication dans la communauté, est-il déraisonnable de présumer que la voix du rabbin en décrit fidèlement la mentalité et les attitudes?

Au Conseil du 2 mars 2020, en réponse à ma question, vous vous êtes engagé à ne pas modifier le règlement de zonage pour les lieux de culte avant les prochaines élections sans l’aval préalable de l’ensemble de l’arrondissement. Après la clôture de la période des questions, vous avez exceptionnellement accordé la parole à Max Lieberman, un porte-parole de la communauté hassidique. Il assimila faussement ma question à une apologie de la démocratie directe. Selon lui, cette forme de gouvernance aurait obstrué la reconnaissance des droits des Noirs, des femmes et des LGBT. Cet amalgame des droits humains avec la réglementation du zonage cherchait à discréditer ma question et votre engagement. Pourtant, au référendum du 20 novembre 2016, ses coreligionnaires se sont mobilisés massivement pour faire révoquer le règlement interdisant les nouveaux lieux de culte dans la zone où se situe l’avenue Bernard.

Outremont a été la cible de propos encore plus choquants. En voici quelques exemples. Pour Joseph Farkas (Le Point, 4 mars 2004), la réglementation des circuits d’autobus interurbains et de leur circulation à Outremont présageait une nouvelle shoah. Le maire Stéphane Harbour s’en indigna et exprima l’espoir que des membres éminents de la communauté dénoncent ses propos (Le Point, 11 mars 2004), mais ce fut en vain. Au Conseil de novembre 2014, Robert Bixenspanner, ignorant les statistiques démographiques, soutint que les prétendues déconvenues des Hassidim étaient attribuables à l’afflux massif depuis 1960 de francophones à Outremont; il accusa certaines conseillères de vouloir «délibérément porter atteinte aux coutumes de la communauté hassidique». Au Conseil de janvier 2015, Joannie Tansky de Hampstead et Sharon Freedman de Côte-Saint-Luc se présentèrent au Conseil de notre arrondissement pour y tenir des propos outrageants au sujet d’un projet de règlement des souccahs. Mme Tansky attaqua le projet de règlement comme étant «the most restrictive law in the world against the Jewish people»; Mme Freedman proféra cette menace: «You will be around the world, you will be all over CNN, I would make sure it gets out there» (voir ma lettre du 3 mars 2015 au Journal d’Outremont à la page 6 de l’onglet Opinions). Si vous doutez de mes propos, vérifiez. D’ailleurs, croyez-vous que, comme l’a fait la mairesse Cinq-Mars pour ces citoyennes des municipalités défusionnées de Hampstead et Côte-Saint-Luc, leurs maires auraient accordé la parole à un résidant de notre arrondissement lors d’une assemblée de leurs Conseils? Qu’auriez-vous fait dans une telle situation?

Michel Lincourt, alors professeur d’architecture à l’École nationale supérieure des arts et industries de Strasbourg et professeur invité à l’INRS du Québec, décrit l’esprit du paysage urbain d’Outremont et la mentalité de ses résidants dans In Search of Elegance, ouvrage savant publié en 1999 par les presses universitaires McGill-Queen’s et celles de l’Université de Liverpool. Dans le septième chapitre, Outremont: A Convivial Elegance, le professeur Lincourt redresse, chiffres à l’appui, de fâcheux stéréotypes. Contrairement à l’assertion du prétendu documentaire Outremont et les Hassidim d’Eric Scott, nonobstant la présence ici de quelques millionnaires, notre quartier n’est pas «cossu». Certes, il héberge de nombreux professionnels, artistes, universitaires et personnages politiques connus. Sa caractéristique principale est toutefois le «charme discret» de sa bourgeoisie: un savoir-vivre axé sur une civilité chaleureuse, pudique mais dépourvue de puritanisme.

Dans son livre, le professeur Lincourt notait la convivialité de notre parc résidentiel et commercial révélé dans la tranquillité des rues, l’attention à l’entretien des demeures, l’ordonnancement avenant des commerces et l’accueil chaleureux du client. Selon lui, la complicité entre les citoyens et l’administration rendait Outremont exemplaire. Les autorités pouvaient compter sur le résidant pour planter des fleurs, soigner les arbres et les arbustes à la lisière de son terrain, cette lisière étant du domaine public. En retour, le résidant pouvait se fier aux autorités pour assurer le bon état du domaine public.

Une sérénité joyeuse favorisée par un milieu calme et propre contribue au «charme discret» que la majorité tient à préserver à Outremont. A-t-elle tort? Est-elle déraisonnable d’insister que s’en accommode une minorité qu’elle n’exclut pas, mais dont elle respecte le désir de ne pas être dérangée? Est-elle tenue d’acquiescer sans rien dire aux passe-droits que lui accordent les autorités sous forme de dérogations (qu’elle n’accorde pas à d’autres) aux règlements de zonage et de construction, même à l’encontre d’une recommandation unanime du CCU ? à leur laxisme dans la mise en vigueur des règlements de salubrité, de santé publique et de stationnement? Pour justifier ces passe-droits, les autorités invoquent l’obligation d’accommoder raisonnablement la liberté de religion. Pour réfuter ce prétexte, je m’inspirerai d’une réflexion judicieuse du juge Ian Binnie de la Cour suprême du Canada: l’obligation de respecter la liberté de religion doit servir de bouclier contre les atteintes de l’État, non d’épée pour mutiler les intérêts légitimes de tous au profit d’intérêts particuliers nuisibles à la communauté.

À Outremont, les façons de concevoir le bien commun de la majorité et de la minorité sont contradictoires. Voilà, monsieur le maire, une source importante de malentendus au cœur de nos affrontements. Si la table de concertation que vous assemblez entend travailler efficacement à les résoudre, elle devra décider laquelle de ces conceptions est juste; elle devra aussi s’appliquer à dissiper l’ignorance, les fausses perceptions et les préjugés immérités, blessants à l’endroit de la majorité d’Outremont.

Respectueusement,
Pierre Joncas

Auteur des Accommodements raisonnables entre Hérouxville et Outremont, Les PUL (Presses de l’Université Laval), Québec, 2009



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UN HOMMAGE À RENEE CLAUDE

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Publication : 14 mai 2020
Par M. Alberto delBurgo

Jeune artiste né quelques semaines après Renée Claude, mais à deux continents de là. Elle restera toujours pour moi l’incarnation du Québec comme je l’ai découvert en 1969.

Cette chanson touchait mes Vennes car c’était, pour moi aussi, et presque mot à mot…

Le début d’un temps nouveau.

Je fuyais la guerre du Liban et ses querelles médiévales,

Qui le divisent en tous temps, de colonel en Général
et autres leaders de matamores toujours prêts à continuer le bal
Alors, j'entrai de plein corps
Dans ce début d'un temps nouveau :
Pour moi aussi, l’année zéro…
Et, comme la moitié des gens,
Je n'avais pas encore trente ans
Les femmes faisaient l’amour librement,
Les hommes ne travaillaient presque plus,
Le bonheur devint ma seule vertu

Dans ce début d'un temps nouveau,
je voletais comme un oiseau,
Sans égard aux couleurs de la peau,
Le cœur ouvert l’esprit nouveau
ça m’a donné une si belle enfant!

Oui, j’avais fait le tour du monde,
Tourné des rôles en cinérama,
Mon âme était un ballon sonde
Et à l'Expo je voulais déjà
Monter une pitoune à la Ronde,
Et l’avenir ne m’effrayait pas …!
Et l'avenir ne m'effrayait pas

Merci à toi, chère Renée Claude
De m’avoir accueilli chez moi
Car si ta belle chanson du monde
Était pour moi une introduction
Dans ce monde devenu le mien.
C’était il y a plus de cinquante ans
Mais ta chanson résonnera en tous temps
En unisson avec le tien….
En unisson avec le tien...



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Confinement : Un Outremontais écrit au PM

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Publication : 14 mai 2020
Par M. Réal Gingras

Monsieur Trudeau, vous n’avez pas à vous inquiéter comme vous le faites. Je suis né à Montréal et j’y habite encore. Je connais bien Montréal. J’aimerais bien vous rassurer. Vous ne pouvez quand même pas vous inquiéter à notre place. Je ne suis pas inquiet du tout et contrairement à ce que quelques-uns peuvent penser, beaucoup d’autres ne sont pas inquiets. Je ne sais pas qui vous a mis ça dans la tête.

Ce sont les journalistes probablement et certains de vos conseillers mal informés qui alimentent cette inquiétude. À Montréal, nous savons ce que nous avons à faire. Personne ici n’est inquiet. La routine urbaine doit reprendre ses droits.

J'habite Outremont (voisin de votre comté) où il y a grosso-modo 220 cas. Outremont est entouré par Parc-Extension au nord et Côtes-des-Neiges à l'ouest (beaucoup plus contaminé). L'Ile de Montréal a une population de 1 700 000 habitants. Bien sûr, il y a une plus forte concentration dans quelques quartiers mais nous savons aussi où se trouvent les principaux cas. Il faut simplement garder l'oeil ouvert. 1 700 décès = 0,1% 18 000 cas = 1,1%.

Ça fait deux mois que je sors à tous les jours pour faire mes courses, me balader dans les parcs, sur la Montagne et dans certains parcs nature. Je suis même allé à trois reprises dans mon jardin communautaire, même si c'est fermé, pour préparer la terre. Je ne me laisse pas surprendre par la distraction. Je suis toujours négatif. Oui, il faut déconfiner Montréal au plus sacrant: rouvrir les jardins communautaires, le jardin botanique, les bibliothèques, les restaurants, les écoles et même les cinémas de façon sécuritaire certes mais certainement pas dans l'angoisse et la crainte.

Qu'on arrête de nous monter la tête avec des discours de peur et d’inquiétude. Nous sommes assez grand pour utiliser notre libre arbitre. Ah oui ! j'ai 67 ans.

Je vous invite à vous inspirer plutôt du modèle suédois et de rassurer la population. Vous êtes le Premier ministre que diable! Votre discours doit être à la hauteur.

Veuillez agréer, monsieur le Premier ministre, mes salutations les plus distinguées.

Bonne continuation, Réal Gingras



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Sophismes et demi-vérités

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Publication : 14 mai 2020
Par M. Marc Poulin

Depuis son élection M. Tomlinson nous a habitués à ce que tout commentaire ou suggestion des citoyens soient traités dans un esprit d’affrontement avec ces derniers quitte à déformer les faits pour sauver la face. Les réponses fournies lors du dernier conseil ne firent pas exception.

ORDURES
Le problème persiste et la direction de l’arrondissement ne convainc personne quand elle dit que ce dossier est prioritaire pour elle. Tous les prétextes sont bons pour ne pas agir. Le dernier en ligne, la COVID 19. A une citoyenne qui se plaint depuis plus de 6 mois que les panneaux informant des jours de collecte dans sa ruelle sont erronés, ce qui a pour fâcheuse conséquence que toute contravention sera déboutée en cour municipale, on a répondu que l’on avait fait le travail de repérage, mais que le jour où on allait passer à l’action, pour commander de nouveaux panneaux je suppose, le confinement fut décrété. Remarquez que l’on a été beaucoup plus rapide pour changer les panneaux de stationnement, mais ne boudons pas notre plaisir car miraculeusement ces panneaux furent changés deux jours après. Cela dit cela ne devrait pas changer grand-chose sur les nombres de contraventions car le Maire nous a confirmé que, COVID 19 oblige, on ne fait plus de fouille dans les ordures pour accumuler des preuves contre les contrevenants. Un autre sursis pour le festival du dépotoir.

STATIONNEMENT
Cela fait 10 mois que les citoyens de l’îlot Willowdale et d’ailleurs font remarquer que lors des périodes de nettoyage les deux côtés de rue sont interdit au stationnement. Le Maire avait promis une solution mais il semble que celle-ci n’arrivera pas avant juillet ou aout (un an après). Le Maire n’a cependant pas manqué de blâmer les citoyens pour cet état de fait, en faisant valoir que cette situation est le résultat du refus de ces citoyens d’accepter un stationnement des deux côtés de la rue, tel que proposé initialement dans son plan de stationnement. Quel sophisme car le Maire semble oublier que ce plan est la cause première de ce problème en abolissant l’alternance! Quand on est rendu à blâmer les citoyens pour les incohérences de son plan de stationnement c’est qu’on oublie que la politique de stationnement doit être aux bénéfices de ces derniers, pas pour flatter son ego politique.

CAMP SOLEIL
A des citoyens qui faisaient remarquer que la nouvelle tarification du camp allait augmenter leurs coûts de façon disproportionnée pour les citoyens qui choisissaient l’option 8 semaines sans service de garde, le Maire les a quasiment blâmer de ne pas choisir les options qui font en sorte que les tarifs sont comparable à l’an dernier. De toute façon ce qui semble important, c’est que dans ce package deal, les citoyens, qui comme lui, envoient leurs enfants cinq ou quatre semaines y trouvent leur compte. Je ne conteste pas que de confier le camp à un OBNL puisse être une bonne solution pour l’arrondissement, mais plutôt que nier les faits, l’arrondissement devrait plutôt chercher à trouver une solution pour ces parents-citoyens qui ont besoin du camp plus que tout autres. Si on est prêt à subventionner les vignettes de stationnement pour certains citoyens, pourquoi ne pas subventionner pour ces parents une partie de la différence de tarif? Pourquoi favoriser l’accès l’automobile plutôt que les enfants des citoyens à faible revenu qui dépendent d’un camp de jour à prix modique? Probablement que ces parents ne font pas partie de la base électorale de Projet Montréal.

AUGMENTATION DE SALAIRES DES CONSEILLERES
Le Maire a de nouveau confirmé que cette augmentation rétroactive est reportée plutôt qu’annulée. Le Maire en fait une question d’équité faisant allusion que c’est pour les conseillères, comme si ce dossier en était un similaire aux dossiers d’équité salariale de la dernière décennie. Quel sophisme!

Si on parle d’équité salariale, on doit s’appuyer sur des faits et regarder l’ensemble des comparables et non seulement la rémunération que se sont votée les élus du Plateau. Une étude de rémunération en bonne et due forme prend en considération le niveau de responsabilité, la taille du budget géré, le nombre de commettants etc… St- Lambert a justement procédé à une telle étude quand est venu le temps de fixer la rémunération de ses élus. Les échevins de villes de banlieue comparables à la nôtre gagnent environ 25 000$ alors que la réforme Tomlinson ferait passer la rémunération totale de nos conseiller.e.s d’arrondissement dans une fourchette de $58 000 pour M. Corbeil à près de 100 000$ pour Mme Patreau. Outremont est l’un des plus petits arrondissements de la ville, il est normal que Mme Pollack ne puisse s’attendre à la même rémunération qu’une conseillère d’arrondissement du Plateau, même si elle y habite, cette dernière représentant quatre fois plus d’électeurs. A la mesure d’équité du Maire, je soumets une autre mesure, soit le coût de représentation par électeur. A dix dollars par citoyen, homme, femme ou enfant, pour le privilège d’être représenté par Mme Magini, par exemple, cela me semble un peu excessif. Il est temps que Projet Montréal commence à se poser la question si les mesures proposées sont équitables pour les citoyens!

COLS BLEUS
Parlant d’équité envers les citoyens, abordons la question des services offerts à ces derniers en temps de pandémie. Alors que plusieurs citoyens ont perdu leur source de revenu ou se sont vus imposer des diminutions de salaires, les employés municipaux sont confinés à plein salaire. Tous ont remarqué que la qualité des services a beaucoup diminué, en particulier en ce qui a trait à la propreté et l’entretien. Malgré mes questions à ce sujet, le Maire n’a pas été capable d’expliquer en quoi les mesures de distanciation impactaient les opérations de la citerne qui nettoie les rues. C’est comme si la consigne du ministre de l’éducation qui enjoignait les étudiants et les professeurs à prendre le confinement comme des vacances, s’appliquait aussi à nos employés municipaux. Mais peut-on vraiment blâmer nos cols bleus car quand le chat n’est pas là les souris dansent … et festoient dans le buffet à ciel ouvert que sont devenues nos ruelles!



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Saleté rue Bernard

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Publication : 14 mai 2020
Par Mme Nicole Raffalli

Le Journal d’Outremont reçoit une quantité importante de photos provenant de résidants, qui montrent l’état lamentable de nos rues et de nos ruelles. Toutes ne sont pas mises en ligne, bien entendu, mais voici le point de vue inédit d’une résidante sur l’avenue Bernard, de son logement juste au-dessus du Marché Les 5 Saisons. Nous publions ici son commentaire et la photo fournie.

Je vous envoie cette photo de la rue Bernard en face des 5 Saisons car les incivilités habituelles sont aggravées par les abandons de masques et gants sur le trottoir. Je ne peux que regretter que la saleté devienne de plus en plus présente dans les rues, ruelles et parcs d’Outremont.



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2 lettres d’opinion sur le film Outremont et les hassidims

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Publication : 4 mai 2020
Par M. Philippe Cinq-Mars et M. Léon Gagnon,

Un documentaire biaisé

Je voulais regarder, avec beaucoup de curiosité, le film documentaire " Outremont et les Hassidim ‘’. Ma curiosité était double. Ayant signé plusieurs dizaines de documentaires télévisuels en affaires publiques tout au long de ma carrière de réalisateur, je tenais à voir si celui-ci s'en tenait à une rigueur journalistique. En d'autres mots, si ce film était objectif. D'un autre point de vue, étant citoyen depuis 40 ans qui a pu observer les difficiles relations entre nos deux communautés, j'avais hâte d’en connaître le traitement dans le film.

J'ai été profondément déçu.

Ce documentaire manque de rigueur car il ne présente surtout qu'un côté de la problématique, celui du " vivre ensemble ". Selon de nombreux observateurs, il existe une réelle tension entre les deux communautés. Cette tension n'est pas palpable dans ce documentaire. Et les raisons de cette forte tension ne sont pas manifestes non plus dans le déroulement du film.

Ce documentaire est gentil-bonbon-mou, manque de "punch", de muscle et de controverse. Le montage est biaisé. Ça sent la mise-en-scène à l'eau de rose.

Très pauvre comme travail journalistique de Radio-Canada.

Philippe Cinq-Mars,
réalisateur

Pas du reportage mais de la mise en scène

Je demeure dans le quartier Outremont-Mile End depuis 45 ans. Presque chaque jour je circule dans le quartier et je l’observe. En tant que géographe, spécialiste des comportements humain dans l’espace, j’ai eu tout le loisir d’analyser ce qui se passe dans mon quartier, dans mon milieu de vie.

J’étais donc curieux de voir la présentation qu’en ferait le cinéaste Eric Scott dans son reportage Outremont et les Hassidim présenté samedi 18 avril 2020. J’ai été déçu, fortement. J’aurais apprécié une approche globale, respectueuse des différents points de vue, et surtout une approche qui fournit une explication sur ce qui se passe dans mon quartier et qui permet de comprendre les réactions des citoyens d’Outremont. On m’a plutôt servi un discours largement orienté et qui fait surtout place aux particularités du groupe hassidique. Donc une étude culturelle ce groupe et qui met l’accent sur les côtés positifs.

(…)

On nous a plutôt présenté à plusieurs reprises des chanteurs hassidiques tels qu’ils évoluent dans leur salon. De beaux garçons bien habillés, avec une belle voix et un sourire agréable. L’apparence de ces hommes était bien différente des hommes en noir que je vois circuler sur la rue, qui vont du point A vers le point B sans regarder autour d’eux.

Madame Pollack, ma conseillère municipale, a joué un rôle important dans le film. Parlant français, bien habillée avec un beau collier de perles, calme et pondérée, on l’a présentée comme ouverte et tolérante, une rassembleuse en fait. Pour elle le problème en est un d’incompréhension du fait que les citoyens hassidiques n’échangent pas avec les autres citoyens du quartier. Si les voisins se parlaient, ils se comprendraient et ça irait bien. Tous les problèmes disparaîtraient.

(…)

Quand le journaliste Scott a fait appel à des personnes du quartier pour venir témoigner, j’ai pensé me présenter vu que j’ai beaucoup de choses à dire. Mais je n’y suis heureusement pas allé du fait que beaucoup de journalistes ou documentalistes font de longs enregistrements et ensuite choisissent quelques clips qui vont dans le sens de leur idéologie.

(…)

Pour être sérieux, professionnel, ce reportage de notre société d’État aurait du présenter les éléments suivants :

- une problématique axée sur l’évolution d’un territoire multiculturel sous l’influence d’un groupe d’étrangers ayant une culture particulière et fonctionnant en bloc; - les différentes réponses qu’offrent les gens en place (citoyens, médias et politiques); - l’impact qu’aurait dans le futur, dans le cas d’une forte croissance de cette population hassidique.

Léon Gagnon,
Géographe, résidant d’Outremont



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Lettre de finissants de 5e secondaire au Premier ministre

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Publication : 4 mai 2020

Cette lettre d’opinion a été rédigée à l’égard du gouvernement du Québec. Elle stipule l’importance d’une dernière journée d’école pour tous les finissants et finissantes de la province.

Cher Monsieur Legault,
Cher Monsieur Roberge,

Nous vous écrivons aujourd’hui au nom de tous les élèves de cinquième secondaire du Québec. L’annonce de la fermeture des établissements d’éducation du second degré jusqu’au mois de septembre a bouleversé nombre d’entre nous. Sachez que nous appuyons entièrement cette décision nécessaire à la santé publique. En effet, nous sommes conscients que la réouverture des polyvalentes et des collèges présenterait un risque additionnel que nous souhaitons éviter pour le bien de tous. Néanmoins, nous estimons qu’il serait judicieux d’accorder aux finissants et finissantes le privilège de profiter d’une dernière journée d’école.

Tel que mentionné lors de votre point de presse du 27 avril dernier, les jeunes du primaire auront l’option de retourner en classe dès le mois de mai. Nous saisissons qu’il est important que les enfants effectuent un retour graduel en milieu scolaire pour différentes raisons. Toutefois, nous pensons que nous, élèves de cinquième secondaire, pourrions bénéficier de quelques heures pour nous retrouver une dernière fois, avant que nos chemins ne se séparent. Cette dernière journée, bien que plus symbolique qu’autre chose, nous permettrait de boucler la boucle des cinq années passées dans ces établissements qui ont forgé nos vies. Dire adieu aux professeurs qui nous ont guidés lors de ce parcours formateur. Voir une dernière fois nos pairs. Cet exercice, qui est loin d’être un caprice, nous procurerait un bien-être psychologique. Bien-être, qui, comme vous le savez, est d’une importance capitale dans ces années charnières de notre vie. Cette action serait pour nous une façon de tourner la page en toute quiétude.

Enfin, messieurs, les finissants et finissantes vous enjoignent de bien vouloir leur échanger une seule petite journée contre les trois mois qu’il leur restait à vivre au secondaire, contre les voyages scolaires qui ont été annulés, contre la graduation qui ne se déroulera certainement pas comme ils l’avaient imaginée, contre la chance de revoir pour une dernière fois les enseignants et les amis qui les ont marqués à jamais, contre leur dernière saison sportive annulée, contre les spectacles dûment préparés qui n’aboutiront jamais, contre leurs derniers projets qui ne verront jamais le jour, contre le sentiment de marcher dans les corridors et de sentir que l’école leur appartient et bien sûr, contre le dernier regard jeté sur l’entrée des élèves avant de finalement faire un pas dans l’âge adulte.

Merci,

Justin Angélil-Danis, Mathis Bruyère, Chloé Desjardins, Alexis Gabriel Gherasim, Charlotte Lapointe et Justine Monette.



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